Blog littéraire d'Etienne Ruhaud ISSN 2427-7193
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The blue and the dim and the dark cloths / Of night and light and the half light
Pour dire le monde…par Sabine Aussenac, professeur agrégée d'allemand et écrivain.
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Quelques larmes perlent sur l'âme d'Orphée : Musique - Poésie - Peinture - Sculpture - Philosophie
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« Je pleure sans raison que je pourrais vous dire, c'est comme une peine qui me traverse, il faut bien que quelqu'un pleure, c'est comme si c'était moi. » M. D.
L'Histoire par les femmes veut rappeler l’existence de ces nombreuses femmes qui ont fait basculer l’histoire de l’humanité, d’une manière ou d’une autre.
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secousse sismique travaillant l’épaisseur d’une lentille de cristal, cette fin du monde de poche s’exprimait tout entière dans la syllabe fragm, identique de “diaphragme” à “fragment”, comme une paillette pierreuse qu’on retrouve pareille à elle-même dans des roches de structures diverses mais dont les éléments principaux, de l’une à l’autre, demeurent constants (Michel Leiris)
Even when Death inhabits a poem, he does not own it. He is a squatter. In fact, Death owns nothing. - Todd Moore
News, links, resources, and commentary on poets and artists of the New York School, by Andrew Epstein
Avec toi c’est Noël toute l’année. Merci pour tes cadeaux quotidiens et merci à l’auteur du poème, il est magnifique.
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Vincent said this on avril 13, 2016 à 6:51 |
Merci Vincent. Je suis heureux de pouvoir partager tous ces poèmes avec des lecteurs aussi férus de poésie que toi et qui souhaitent la faire vivre le plus longtemps possible. La poésie sauvera peut-être le monde…
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schabrieres said this on avril 13, 2016 à 9:52 |
Francis Giauque, André Laude, Jean-Claude Pirotte, Alda Mérini et j’en passe et des meilleurs comme on dit, combien de fois ils ont sauvé mon monde ? Je les ai tous rencontré grâce à ton travail mais peut-être n’est-ce pas la chose la plus importante que m’ai apporté BWSTW… Il a été pour moi un espace pour me dire, dire ma souffrance, je pouvais le faire parce que je me sentais entendu, compris par toi et certain de tes autres lecteurs. Ca a rompu un silence dévastateur en moi tout en me redonnant espoir. C’est dans la section « commentaire » de ton blog que j’ai commencé à écrire, tu m’as encouragé dans cette voix, petit à petit mes commentaires n’étaient plus des commentaires mais des réflexions personnelles, des récits de ma vie, des poèmes et toujours tu m’encourageais à continuer, tu me faisais part de ton intérêt et puis un jour j’ai sauté le pas, j’ai créé mon propre espace d’expression avec « Comme un cheveu sur la soupe ». Le nom vient d’ailleurs du fait que je trouvais que mes commentaires (mes faux commentaires) étaient comme des cheveux sur la soupe à l’endroit où je les publiais. Ils n’avaient en effet parfois aucun rapport avec les poèmes qu’ils étaient sensé commenter. Ca va faire bientôt deux ans, plus de cinq cents billets, poèmes, le bonheur d’écrire, la joie de vivre retrouvée. Je l’écris dans mon premier article « Au commencement », mon blog est une ramification du tiens et le mien à son tour a fait des petits, de magnifiques petits, j’y ai fait et j’y fait encore de superbe rencontres (et des fautes d’orthographe…), de ces rencontres qui comptent dans une vie, qui n’ont rien de virtuel même si l’on a coutume de dire qu’internet est un monde virtuel. A ce propos, je suis de passage dans ton coin vendredi et samedi, visite de familiale, c’est avec plaisir que je ferais plus ample connaissance avec toi à la terrasse d’un café par exemple.
Bien à toi.
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Vincent said this on avril 14, 2016 à 5:26 |
Bonsoir Vincent,
Je suis heureux que mon blog t’aie donné envie
de créer le tien (qui est remarquable).
Je suis également enchanté de lire
tes commentaires toujours pertinents,
tes réflexions personnelles, tes poèmes.
Nous sommes proches de par l’admiration que
nous portons tous les deux à Francis Giauque
et aux poètes torturés en général, qui vivent
leur poésie plus qu’ils ne l’écrivent.
J’aurais été enchanté de te rencontrer sur Bordeaux mais je
suis sur Agen jusqu’à la semaine prochaine.
Amicalement,
Stéphane
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schabrieres said this on avril 14, 2016 à 9:30 |
Merci. Une autre fois j’espère pour se voir.. Bon séjour.
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Vincent said this on avril 14, 2016 à 10:15 |
Magnifique poème
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La revue de Claire said this on avril 13, 2016 à 7:17 |
Meme s’il n’était pas signé, je reconnaîtrais dans ce très beau poème la musique des mots si particulière chez Florence Noel. Merci pour le partage et bravo pour votre blog, à suivre.
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Lise said this on avril 14, 2016 à 1:56 |